| Après une proposition initiale (1965) d'une centrale nucléaire de la région a été abandonnée en raison de la chute des prix du pétrole et du conflit entre les énergies alternatives françaises et la Commission de l'énergie atomique (CEA) et Électricité de France (FED) en 1969. En 1973, EDF annoncé un nouveau projet nucléaire et le ministère français de la qualité de vie ont confirmé Golfech comme l'emplacement de l'usine en 1974.En 1975, un référendum organisé par les cantons de Valence-d'Agen et auvillar a entraîné 83% des voix contre l'établissement de la centrale de golfech. En avril 1978, le Conseil régional de Midi-Pyrénées a voté à l'unanimité contre la création de la centrale de Golfech. Malgré une protestation généralisée, en décembre 1978, EDF a précisé que Golfech était le site choisi définitivement pour la région de Midi-Pyrénées et qu'il inclurait 4 réacteurs d'eau sous pression de 1 300 MW de 1 300 MW.% En juin 1979, le Parti socialiste (PS) de Lot -et-Garonne a rejoint ses camarades dans le PS Tarn-et-Garonne pour dire non à la centrale de Golfech, ainsi que d'autres partis de gauche, des syndicats et de la Ligue des droits de l'homme, entre autres. Le 17 juin 1979, 5 000 marcheurs, avec des politiciens élus qui marchent à la tête, se sont rendus sur le site de la future centrale électrique pour libérer des ballons, démontrant la propagation possible d'un nuage radioactif aussi loin que l'Espagne. En septembre 1980, 10 000 personnes sont allées sur le site du projet sur l'initiative du Comité antinucléaire de Golfech (CAN). En octobre 1981, 4 000 personnes marchent sur le site en construction. L'opposition avec la police conduit à des affrontements violents. En novembre, une nouvelle marche a réuni de 4 à 7 000 personnes et a donné lieu à des affrontements longs et violents avec la police et une douzaine de pronucédicaux. Malgré tous les deux réacteurs de protestation (1310 MW chacun), respectivement en ligne et 1993. En 1996, trois militants anti-nucléaires sont entrés à nouveau dans la centrale électrique en nageant dans la Garonne. Ils ont ensuite grimpé l'une des deux tours de refroidissement, jusqu'à 178,5 mètres de hauteur. L'un d'eux passera trois nuits sur cette tour. Dans le cas particulier où un accident nucléaire survient, Golfech a un plan d'intervention spécial (PPI), qui prévoit une évacuation dans un périmètre de 10 km, tandis que l'évacuation sur un périmètre de 20 km s'est avérée insuffisante lors de l'accident de Fukushima (Ladepeche, 2011). En cas d'accident nucléaire où la plante libère un nuage radioactif dans l'atmosphère, les zones touchées dépendraient du vent et de la pluie. Dans l'événement le plus probable, le nuage atteindrait Toulouse dans plus de trois heures. Cependant, la ville de Toulouse n'a pas pu être évacuée, d'une part à cause des bourrages de la circulation qui bloquent fréquemment la circulation là-bas et, d'autre part, à cause de la panique probablement générée par l'évacuation d'une grande ville (Ladepeche, 2002). Au cours des 30 années d'exploitation de Golfech, il y avait eu divers accidents et incidents (par exemple Sortirdunucleaire, 2020; Stopgolfech, 2020). En janvier 2010, 450 litres d'eau contaminée radioactive ont été déversés de la rétention appropriée. Le réseau "SortirR Du Nuclear", Amis de la Terre, France Nature Environnement (FNE) et associations locales ont déposé une plainte contre EDF et la gestion de la centrale pour ne pas avoir notifié l'autorité de sécurité à temps. Le réseau "SortirR Du Nucleaire" accuse également l'usine de dépassement des normes de rejet juridique. Le réseau a déjà détecté la présence de tritium dans les algues Garonne, qui est attribuée aux fuites de la centrale de Golfech. Enfin, les décharges de la centrale de golfech dans la rivière Garonne et utilisées pour l'irrigation et l'eau du robinet peuvent notamment contenir l'iode 131 (289 Becquerels / litre en 2003). Et et |